Cette tendance s’explique en partie par la recherche de discrétion des trafiquants, les zones rurales offrant moins de surveillance policière que les grandes villes.

Le trafic s’est modernisé avec l’utilisation de plateformes de messagerie cryptée ou de réseaux sociaux pour vendre discrètement des drogues depuis des endroits inattendus comme des fermes, des granges, ou même des maisons en plein cœur des villages.

La gendarmerie nationale a intensifié ses efforts avec des opérations de démantèlement, mais les trafiquants semblent s’adapter rapidement, trouvant de nouvelles méthodes pour continuer leurs activités. Les contrôles routiers, les écoutes téléphoniques, et l’usage de “sources humaines” sont des techniques employées pour combattre ce fléau.

Le Figaro