Nos objectifs

NOTRE ASSOCIATION TOUCHE PAS À MON FLIC EST NÉE D’UNE URGENCE :

Redonner une voix à ceux qu’on veut faire taire. Quand les forces de l’ordre sont attaquées, humiliées, ou abandonnées, nous répondons, nous protégeons, nous dénonçons.

Enfin se défendre médiatiquement…

Les forces de l’ordre font face à une hostilité croissante, venue de toutes parts. Parmi ces attaques, l’offensive médiatique est l’une des plus redoutables.
Chaque semaine, un policier ou un gendarme est livré en pâture à l’opinion publique. Trop souvent, des médias crédules, complaisants, voire complices, se contentent de relayer la version d’une prétendue victime – fréquemment connue défavorablement des services de police.
Où sont le débat contradictoire, la nuance, ou encore la présomption d’innocence ?
Pour les forces de l’ordre, il semble n’exister qu’une présomption de culpabilité.
Le devoir de réserve, que personne ne remet en cause, empêche les policiers de se défendre publiquement ou de donner leur version des faits. Il faut attendre le procès, des années plus tard, pour que la vérité éclate et que l’innocence d’un policier soit reconnue.

C’est la double peine. Avant même le jugement, le policier subit les sanctions de son administration, parfois celles de la justice : suspension, contrôle judiciaire, voire détention provisoire. Une épreuve insupportable pour celui qui est innocent!
Tous ces non lieux ou relaxes lors du jugement interpellent l’opinion publique et créent le doute d’une justice partiale qui serait du coté des forces de l’ordre. Quand il n’y a qu’une seule version pendant des mois voire des années, on est enfermé dans des certitudes de culpabilité. Une connivence entre la police et la justice est alors suspectée en cas de non lieu …

C’est dans ce contexte que TOUCHE PAS À MON FLIC a vu le jour.

La version des policiers incriminés dans les médias aura ENFIN droit au chapitre. Car nous l’avons constaté dans l’affaire Zécler, quand le tribunal médiatique vous a condamné, les magistrats vous condamnent automatiquement pour apaiser les lyncheurs, ou calmer d’éventuelles émeutes dans les territoires perdus de la république.

On achète la paix sociale depuis trop longtemps, on la troque aussi. Pas d’émeutes dans les cités contre 2 policiers en prison…

Combattre le racisme d’où qu’il vienne

Depuis quelques années, nous avons constaté que nos collègues d’origines étrangères font l’objet d’insultes racistes. Pas un jour où nos collègues ne sont la cible de propos insoutenables comme : vendu, bounty, esclave, traitre ou chintok . La gente féminine n’est pas épargnée : les contrevenants ou délinquants ne répondent pas à nos collègues féminines, ne souhaitant pas répondre à une femme.

On évoque souvent un prétendu racisme systémique au sein de la police, mais le vrai racisme systémique, ce sont nos collègues qui le vivent quotidiennement.
TOUCHE PAS À MON FLIC se mobilise pour soutenir tous les agents ciblés par ces attaques, qu’elles proviennent de l’extérieur ou de l’intérieur des forces de l’ordre.
Nous interpellerons le ministre de l’Intérieur afin que ces actes soient systématiquement sanctionnés. Le séparatisme, c’est cela qu’il faut dénoncer.

La présomption d’innocence, la diffamation…

Les médias, les politiques, les célébrités et autres pseudo-vedettes ont transformé la présomption d’innocence en une exception pour les forces de l’ordre. Le terme « présumé » semble avoir disparu de leur langage. On parle de violences policières, de passages à tabac ou d’agressions sans jamais y accoler ce mot essentiel. Ce mépris ressemble à une forme de dédain de classe. Un policier mis en cause n’a souvent pas les ressources financières pour se défendre face aux accusations portées par des médias, des people ou d’autres figures influentes. À l’inverse, les politiques ou les délinquants, eux, bénéficient d’un respect bien plus marqué – sans doute parce qu’ils ont les moyens de se faire entendre et de contre-attaquer, eux!
Face à cette injustice, nous réclamons non seulement le retour d’une véritable présomption d’innocence pour les policiers, mais aussi l’instauration d’une présomption de légitime défense.
Les agents, confrontés quotidiennement à des situations de danger, doivent être protégés par un cadre juridique qui reconnaît la légitimité de leurs actions lorsqu’ils agissent pour assurer leur sécurité ou celle d’autrui. Il est temps de rétablir l’équilibre et de soutenir ceux qui nous protègent!

TOUCHE PAS À MON FLIC, fera un signalement systématique au procureur de la république de ses atteintes intolérables… Dès que l’association en aura les moyens… Grâce à vous…

BRISER LE SILENCE SUR LES SUICIDES DES FORCES DE L’ORDRE

Plus de 1 200 suicides en 25 ans. Chaque semaine, c’est un policier qui met fin à ses jours. Derrière ces chiffres, des vies broyées par une institution qui abandonne les siens. Harcèlement, pression du chiffre, management toxique… mais aussi conditions de travail dégradées, insécurité croissante, rythmes épuisants qui usent les corps et les esprits.

Aurélia, 27 ans, a craqué après des mois de harcèlement et d’abandon par sa hiérarchie alors même qu’elle avait été blessée en service.
Elle n’est pas seule. David, Sophie, Christophe, Julie et tant d’autres… victimes d’un système inhumain. Et les réponses ? Enquêtes classées, responsables promus et jamais condamnés.

TOUCHE PAS À MON FLIC se bat pour réformer, protéger, instaurer un suivi indépendant. Parce qu’un uniforme ne protège pas de la souffrance.

Aidez-nous à agir contre les drames que tout le monde préfère ignorer !

ACCOMPAGNER LES FAMILLES ENDEUILLÉES VERS LA JUSTICE

Derrière chaque drame, il y a une mère, un père, des enfants qui réclament la vérité. Pascale, la maman d’Aurélia, lutte sans relâche pour rouvrir l’enquête sur la mort de sa fille. Elle affronte la machine judiciaire, les pressions, le silence institutionnel. Son combat est celui de toutes les familles qui refusent que ces drames soient étouffés.

Mais se battre pour la justice coûte cher : avocats, procédures, expertises… des milliers d’euros pour faire reconnaître l’évidence. TOUCHE PAS À MON FLIC soutiendra chaque famille qui refuse de baisser les bras.

Parce que faire éclater la vérité ne devrait pas dépendre du compte en banque. Parce que l’honneur de nos morts mérite justice. Et parce qu’il ne doit plus y avoir d’autres Aurélia.

DANS NOTRE COMBAT POUR LES POLICIERS, VOTRE SOUTIEN FAIT LA DIFFÉRENCE

  • Donner la parole aux policiers injustement accusés dans les médias
  • Défendre la présomption d’innocence face aux lynchages médiatiques
  • Lutter contre le racisme anti-policiers, qu’il vienne de l’extérieur ou de l’intérieur
  • Combattre les pratiques managériales toxiques à l’origine de nombreux suicides
  • Soutenir les familles endeuillées dans leur quête de vérité et de justice
  • Exiger des réformes pour protéger la santé mentale et morale des agents

Parce qu’un uniforme ne protège pas de la souffrance, nous avons besoin de vous.